L'école est commencée, c'est vrai.
Bon. C'est vrai. Il n'y a plus de journées d'intégration, plus d'avant-midi. C'est vrai. Daphné a commencé l'école.
Elle adore ça. Ça, c'est clair. Elle a déjà des ami.e.s. Quand on lui demande comment il.elle.s s'appellent, ce n'est pas important, tout le monde a joué ensemble, ce sont des ami.e.s. Sa professeur est gentille et Daphné l'aime beaucoup. L'autobus est venu la chercher. Elle mange ses lunchs. Elle a des souliers d'éducation physique. C'est vrai.
Elle aime déjà l'école, je pense qu'elle s'y sent bien. Le soir, elle a hâte d'y retourner le lendemain. Je suis vraiment fière d'elle. Elle est définitivement une grande fille.
Je ne peux pas dire que mes yeux sont restés secs. J'ai attendu qu'elle monte dans le bus ou qu'elle rentre dans l'école pour pleurer. Je ne voulais pas qu'elle me voit. Elle est partie, sourire aux lèvres, en pleine confiance que la journée irait bien.
C'est difficile de la voir partir, surtout après avoir passé l'été avec elle. On a eu des moments tellement précieux. Ce n'est pas évident de voir cette distance s'installer entre elle et moi, même si c'est le cours normal des choses, même si c'est la vie.
C'est difficile aussi parce que les écoles, pour moi, sont un terrain connu, où j'entre pour travailler. Cette école, je ne peux pas y entrer. Je l'attends se l'autre côté de la clôture.
Elle grandit. C'est beau à voir, même c'est toute une étape.
Elle adore ça. Ça, c'est clair. Elle a déjà des ami.e.s. Quand on lui demande comment il.elle.s s'appellent, ce n'est pas important, tout le monde a joué ensemble, ce sont des ami.e.s. Sa professeur est gentille et Daphné l'aime beaucoup. L'autobus est venu la chercher. Elle mange ses lunchs. Elle a des souliers d'éducation physique. C'est vrai.
Elle aime déjà l'école, je pense qu'elle s'y sent bien. Le soir, elle a hâte d'y retourner le lendemain. Je suis vraiment fière d'elle. Elle est définitivement une grande fille.
Je ne peux pas dire que mes yeux sont restés secs. J'ai attendu qu'elle monte dans le bus ou qu'elle rentre dans l'école pour pleurer. Je ne voulais pas qu'elle me voit. Elle est partie, sourire aux lèvres, en pleine confiance que la journée irait bien.
C'est difficile de la voir partir, surtout après avoir passé l'été avec elle. On a eu des moments tellement précieux. Ce n'est pas évident de voir cette distance s'installer entre elle et moi, même si c'est le cours normal des choses, même si c'est la vie.
C'est difficile aussi parce que les écoles, pour moi, sont un terrain connu, où j'entre pour travailler. Cette école, je ne peux pas y entrer. Je l'attends se l'autre côté de la clôture.
Elle grandit. C'est beau à voir, même c'est toute une étape.
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